Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
LA TORTUE ROUGE (en salles le 29/06/2016)
Michael Dudok de Wit
« C'est joli, mignon et quelques séquences sont superbes. Mais même sur 1h20 de film, on trouve quelques longueurs. »
« C'est gentillet, mais simple et souvent beau. »
La Tortue rouge (en vidéo le 30/11/2016)
Michael Dudok de Wit
« Le cycle de la vie exploré avec minimalisme et poésie dans une oeuvre sensible et formellement somptueuse. »
« C'est joli, mignon et quelques séquences sont superbes. Mais même sur 1h20 de film, on trouve quelques longueurs. »
« C'est gentillet, mais simple et souvent beau. »
La Vérité (en salles le 25/12/2019)
Kore-eda Hirokazu
« Kore-Eda filme la famille française avec autant de justesse qu'il le faisait au Japon. Deneuve y joue le meilleur rôle de sa décennie, facile. »
« Kore-Eda s'approprie complètement son nouveau cadre tout en conservant sa sensibilité et ses thématiques. Une délicieuse réflexion sur la mémoire et sur le jeu, et peut-être la plus belle déclaration d'amour à notre Catherine Deneuve nationale. »
« Kore-eda hors de ses terres japonaises joue avec la fiction et l'imaginaire pour creuser avec le même brio ses thématiques familiales. »
« Grand rôle pour Catherine Deneuve, petit film pour Kore-eda. »
Larmes de Stèle (FICA 2018 - Regard sur le cinéma de Mongolie)
Jigjisuren Gombojav
« Le premier volet de l'indispensable trilogie "Au bord de la mort". »
Le Cercle - Rings (en salles le 01/02/2017)
F. Javier Gutiérrez
« Une mise à jour que l'on peut se risquer à caractériser d'hommage : sans risque, dispensable et plutôt soigné ! Bref, rien de fou, mais rien honteux... »
Le Château solitaire dans le miroir (en salles le 06/09/2023)
Hara Keiichi
« Enfin Keiichi Hara se reprend. »
« Là où Hara pouvait laisser espérer le meilleur dans "Miss Hokusai" et, surtout "Wonderland", le cinéaste ici se glisse dans les clichés du japanime pour ado, en abordant (moins que dans "A Silent Voice") la question pourtant impérieuse du harcèlement scolaire. »
« Keiichi Hara signe une belle fable contre le harcèlement scolaire par le prisme de l'isekai, et renoue avec les thèmes de son beau Colorful. »
« Un sujet en or et quelques instants d’émotions pure comme seul Hara en a le secret, noyés dans une mise en scène sans éclat au service d’un scénario inégal. Mention « peut mieux faire » à la Direction artistique d l’ensemble. »
Le Client (en salles le 09/11/2016)
Asghar Farhadi
« Quelle longue mise en place pour une développement en demi-teinte, qui sent un peu le réchauffé dans le cinéma de Farhadi. »
Le Congrès (en vidéo le 08/08/2014)
Ari Folman
« Une réflexion sur le cinéma et le progrès technique qui perd de sa puissance lors du passage du film en animé. »
Le Conte de la Princesse Kaguya (En Salles le 25/06/2014)
Takahata Isao
« Beau et poétique. Une merveille. »
« Un conte graphiquement et thématiquement envoutant. Le plus beau film d'animation depuis... Le Tombeau des lucioles ? »
Le diable n’existe pas (en salles le 01/12/2021)
Mohammad Rasoulof
« Rasoulof confronte encore et toujours le système de son pays. Une vibrante réflexion du prix de la résistance et de l'obéissance dans un film aussi engagé qu'humaniste. »
« En quatre facettes, Rasoulof atteint, depuis l'épineuse question morale de la peine de mort, aux tréfonds de la condition humaine pour mettre en lumière ses troubles, avec douceur, violence, beauté et crudité. »
« Plusieurs séquences terrassantes, un plaidoyer pour plus d'humanisme et in fine, plus de démocratie. »
Le Festin chinois (en salles le 21/07/2021)
de Tsui Hark
« Tsui Hark s'éclate à présenter les duels de cuisine tels des combats d'arts martiaux, et nous aussi. Cartoonesque ! »
« On va dire qu'il y a à boire et à manger dans ce Tsui Hark qui reste assez mineur. »
Le Gangster, le Flic et l'Assassin (en salles le 14/08/2019)
Lee Won-tae
« Affreux, puant, mal foutu, à éviter de toute urgence. »
« Sur la variation de la confrontation" flic chien fou/ gangster super-violent avec un cœur sur fond de meurtres" que le cinéma coréen affectionne particulièrement, on a vu mieux et le film ne révolutionnera pas le genre mais c'est efficace, plutôt jouissif et porté par la belle énergie de ses comédiens, Ma Dong-seok en tête. »
« La thématique classique du polar sur la porosité entre flic et voyou dopé au dynamisme et au savoir-faire coréen, grâce à des acteurs charismatiques et une intrigue rondement menée. »
« On ne tient pas le chef d'oeuvre de la décennie, ni même de l'année. Mais le divertissement reste total, la mise en scène fluide et dynamique et le duo formé par le gangster et le flic fait mouche. »
« Un énième polar qui n’apporte rien au genre, la faute à un script qui n’exploite jamais à fond son concept d’association/compétition de ripoux et une mise en scène trop sage qui se repose trop souvent sur le charisme de son duo d’acteurs. »
« Une copie propre du polar à la sauce coréenne. Quelques moments un peu trop simples, d'autres bien rythmés. »
« Triste exemple de l'appauvrissement esthétique et thématique du cinéma coréen populaire actuel : aucune idée visuelle, une idéologie rance, un recyclage consensuel des pires clichés des films de gangsters... On ne remercie pas la sélection cannoise qui assure au film une sortie en salles plutôt qu'un passage direct en VOD. »
Le Garçon et la Bête (en salles le 13/01/2016)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
Le Garçon et la Bête (en vidéo le 27/05/2016)
Mamoru Hosoda
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma de HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et la bête (Kinotayo 2015)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma d’HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et le Héron (en salles le 01/11/2023)
Miyazaki Hayao
« Après avoir dit qu'il faut tenter de vivre, Miyazaki se demande à 83 ans comment faut-il mener sa vie. Sidérant. »
« Tout en s'enfonçant dans les tréfonds de ses origines (à la recherche de la mère disparue et du père créateur), Miyazaki laisse son Art défiler devant nos yeux. Avec un sentiment de vertige dont la puissance poétique, sans conteste, peut être perçue comme un excès nébuleux. »
« Film-somme de sa carrière (même si on l'a déjà dit pour Le Vent se lève), Le Garçon et le Héron embrase tout sur son passage. Poétique à souhait et fourmillant d'idées et de détails, le film se laisse moins facilement appréhender que les autres, ce qui le rend d'autant plus intéressant. »
« Le Miyazaki maitre du merveilleux et rêveur des débuts laisse ici place à un vieil homme sage qui se permet ni plus ni moins qu’une réflexion passionnante sur l’existence et ce que l’on en fait. Moins accessible que ses précédents films mais un pur joyau à revoir pour tout assimiler. »
« Miyazaki se rapproche une fois de plus de l'autofiction et arrive, après l'incroyable Le vent se Lève, un fois de plus à réaliser un coup de maître. Cette fois, résolument tourné vers le futur, les audaces techniques et scénaristiques ne sont au service que d'une question angoissante et existentielle : quel sera son héritage ? »
« Le bouillonnement créatif de Miyazaki déborde de chaque image après sa courte retraite. La suite dira s'il s'agit d'un jalon vers un nouvel horizon ou un film somme testamentaire. »
Le Grand Magasin (en salles le 06/12/2023)
Ohshima Satomi
« Film d'animation pour enfants tout mignon tout trognon qui cache en son sein un lore AHURISSANT autour des animaux et des grands magasins. J'ai encore du mal à croire que c'est réel. »
« Un conte de Noël virevoltant et euphorique qui, derrière des atours colorés et un ton léger, cache un fond écologique engagé. »
« Récit naïf qui frise régulièrement le niais. »
Le jour d'après (Cannes 2017)
Hong Sang-soo
« Voilà qui semble être du très grand Hong Sang-soo ! »
Le Jour d'après (en salles le 07/06/2017)
Hong Sang-soo
« Pour une fois, Hong Sang-soo travaille sa mise en scène et sa photographie. A part ça, ben... c'est toujours la même ritournelle... »
« L'un des plus beaux films de Hong Sang-soo. »
Le Lac aux oies sauvages (en salles le 25/12/2019)
Diao Yinan
« C'est beau, c'est sombre. Plus c'est impressionniste, plus ça fonctionne. Dernier plan magnifique. »
« Nouveau coup de maître pour Diao Yinan avec cette cavale vertigineuse et électrisante. Du putain de cinéma ! »
« Un polar virtuose, coloré et sensoriel. »
« Après un Black Coal sublime mais étrangement trop froid, Diao Yinan transforme l'essai en donnant une âme à cet incroyable thriller. »
« Thriller efficace avec quelques moments de stylisation bienvenus. »
« J'ai le droit de refaire mon TOP 10 2019 ? »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
LA TORTUE ROUGE (en salles le 29/06/2016)
Michael Dudok de Wit
« C'est joli, mignon et quelques séquences sont superbes. Mais même sur 1h20 de film, on trouve quelques longueurs. »
« C'est gentillet, mais simple et souvent beau. »
La Tortue rouge (en vidéo le 30/11/2016)
Michael Dudok de Wit
« Le cycle de la vie exploré avec minimalisme et poésie dans une oeuvre sensible et formellement somptueuse. »
« C'est joli, mignon et quelques séquences sont superbes. Mais même sur 1h20 de film, on trouve quelques longueurs. »
« C'est gentillet, mais simple et souvent beau. »
La Vérité (en salles le 25/12/2019)
Kore-eda Hirokazu
« Kore-Eda filme la famille française avec autant de justesse qu'il le faisait au Japon. Deneuve y joue le meilleur rôle de sa décennie, facile. »
« Kore-Eda s'approprie complètement son nouveau cadre tout en conservant sa sensibilité et ses thématiques. Une délicieuse réflexion sur la mémoire et sur le jeu, et peut-être la plus belle déclaration d'amour à notre Catherine Deneuve nationale. »
« Kore-eda hors de ses terres japonaises joue avec la fiction et l'imaginaire pour creuser avec le même brio ses thématiques familiales. »
« Grand rôle pour Catherine Deneuve, petit film pour Kore-eda. »
Larmes de Stèle (FICA 2018 - Regard sur le cinéma de Mongolie)
Jigjisuren Gombojav
« Le premier volet de l'indispensable trilogie "Au bord de la mort". »
Le Cercle - Rings (en salles le 01/02/2017)
F. Javier Gutiérrez
« Une mise à jour que l'on peut se risquer à caractériser d'hommage : sans risque, dispensable et plutôt soigné ! Bref, rien de fou, mais rien honteux... »
Le Château solitaire dans le miroir (en salles le 06/09/2023)
Hara Keiichi
« Enfin Keiichi Hara se reprend. »
« Là où Hara pouvait laisser espérer le meilleur dans "Miss Hokusai" et, surtout "Wonderland", le cinéaste ici se glisse dans les clichés du japanime pour ado, en abordant (moins que dans "A Silent Voice") la question pourtant impérieuse du harcèlement scolaire. »
« Keiichi Hara signe une belle fable contre le harcèlement scolaire par le prisme de l'isekai, et renoue avec les thèmes de son beau Colorful. »
« Un sujet en or et quelques instants d’émotions pure comme seul Hara en a le secret, noyés dans une mise en scène sans éclat au service d’un scénario inégal. Mention « peut mieux faire » à la Direction artistique d l’ensemble. »
Le Client (en salles le 09/11/2016)
Asghar Farhadi
« Quelle longue mise en place pour une développement en demi-teinte, qui sent un peu le réchauffé dans le cinéma de Farhadi. »
Le Congrès (en vidéo le 08/08/2014)
Ari Folman
« Une réflexion sur le cinéma et le progrès technique qui perd de sa puissance lors du passage du film en animé. »
Le Conte de la Princesse Kaguya (En Salles le 25/06/2014)
Takahata Isao
« Beau et poétique. Une merveille. »
« Un conte graphiquement et thématiquement envoutant. Le plus beau film d'animation depuis... Le Tombeau des lucioles ? »
Le diable n’existe pas (en salles le 01/12/2021)
Mohammad Rasoulof
« Rasoulof confronte encore et toujours le système de son pays. Une vibrante réflexion du prix de la résistance et de l'obéissance dans un film aussi engagé qu'humaniste. »
« En quatre facettes, Rasoulof atteint, depuis l'épineuse question morale de la peine de mort, aux tréfonds de la condition humaine pour mettre en lumière ses troubles, avec douceur, violence, beauté et crudité. »
« Plusieurs séquences terrassantes, un plaidoyer pour plus d'humanisme et in fine, plus de démocratie. »
Le Festin chinois (en salles le 21/07/2021)
de Tsui Hark
« Tsui Hark s'éclate à présenter les duels de cuisine tels des combats d'arts martiaux, et nous aussi. Cartoonesque ! »
« On va dire qu'il y a à boire et à manger dans ce Tsui Hark qui reste assez mineur. »
Le Gangster, le Flic et l'Assassin (en salles le 14/08/2019)
Lee Won-tae
« Affreux, puant, mal foutu, à éviter de toute urgence. »
« Sur la variation de la confrontation" flic chien fou/ gangster super-violent avec un cœur sur fond de meurtres" que le cinéma coréen affectionne particulièrement, on a vu mieux et le film ne révolutionnera pas le genre mais c'est efficace, plutôt jouissif et porté par la belle énergie de ses comédiens, Ma Dong-seok en tête. »
« La thématique classique du polar sur la porosité entre flic et voyou dopé au dynamisme et au savoir-faire coréen, grâce à des acteurs charismatiques et une intrigue rondement menée. »
« On ne tient pas le chef d'oeuvre de la décennie, ni même de l'année. Mais le divertissement reste total, la mise en scène fluide et dynamique et le duo formé par le gangster et le flic fait mouche. »
« Un énième polar qui n’apporte rien au genre, la faute à un script qui n’exploite jamais à fond son concept d’association/compétition de ripoux et une mise en scène trop sage qui se repose trop souvent sur le charisme de son duo d’acteurs. »
« Une copie propre du polar à la sauce coréenne. Quelques moments un peu trop simples, d'autres bien rythmés. »
« Triste exemple de l'appauvrissement esthétique et thématique du cinéma coréen populaire actuel : aucune idée visuelle, une idéologie rance, un recyclage consensuel des pires clichés des films de gangsters... On ne remercie pas la sélection cannoise qui assure au film une sortie en salles plutôt qu'un passage direct en VOD. »
Le Garçon et la Bête (en salles le 13/01/2016)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
Le Garçon et la Bête (en vidéo le 27/05/2016)
Mamoru Hosoda
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma de HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et la bête (Kinotayo 2015)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma d’HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et le Héron (en salles le 01/11/2023)
Miyazaki Hayao
« Après avoir dit qu'il faut tenter de vivre, Miyazaki se demande à 83 ans comment faut-il mener sa vie. Sidérant. »
« Tout en s'enfonçant dans les tréfonds de ses origines (à la recherche de la mère disparue et du père créateur), Miyazaki laisse son Art défiler devant nos yeux. Avec un sentiment de vertige dont la puissance poétique, sans conteste, peut être perçue comme un excès nébuleux. »
« Film-somme de sa carrière (même si on l'a déjà dit pour Le Vent se lève), Le Garçon et le Héron embrase tout sur son passage. Poétique à souhait et fourmillant d'idées et de détails, le film se laisse moins facilement appréhender que les autres, ce qui le rend d'autant plus intéressant. »
« Le Miyazaki maitre du merveilleux et rêveur des débuts laisse ici place à un vieil homme sage qui se permet ni plus ni moins qu’une réflexion passionnante sur l’existence et ce que l’on en fait. Moins accessible que ses précédents films mais un pur joyau à revoir pour tout assimiler. »
« Miyazaki se rapproche une fois de plus de l'autofiction et arrive, après l'incroyable Le vent se Lève, un fois de plus à réaliser un coup de maître. Cette fois, résolument tourné vers le futur, les audaces techniques et scénaristiques ne sont au service que d'une question angoissante et existentielle : quel sera son héritage ? »
« Le bouillonnement créatif de Miyazaki déborde de chaque image après sa courte retraite. La suite dira s'il s'agit d'un jalon vers un nouvel horizon ou un film somme testamentaire. »
Le Grand Magasin (en salles le 06/12/2023)
Ohshima Satomi
« Film d'animation pour enfants tout mignon tout trognon qui cache en son sein un lore AHURISSANT autour des animaux et des grands magasins. J'ai encore du mal à croire que c'est réel. »
« Un conte de Noël virevoltant et euphorique qui, derrière des atours colorés et un ton léger, cache un fond écologique engagé. »
« Récit naïf qui frise régulièrement le niais. »
Le jour d'après (Cannes 2017)
Hong Sang-soo
« Voilà qui semble être du très grand Hong Sang-soo ! »
Le Jour d'après (en salles le 07/06/2017)
Hong Sang-soo
« Pour une fois, Hong Sang-soo travaille sa mise en scène et sa photographie. A part ça, ben... c'est toujours la même ritournelle... »
« L'un des plus beaux films de Hong Sang-soo. »
Le Lac aux oies sauvages (en salles le 25/12/2019)
Diao Yinan
« C'est beau, c'est sombre. Plus c'est impressionniste, plus ça fonctionne. Dernier plan magnifique. »
« Nouveau coup de maître pour Diao Yinan avec cette cavale vertigineuse et électrisante. Du putain de cinéma ! »
« Un polar virtuose, coloré et sensoriel. »
« Après un Black Coal sublime mais étrangement trop froid, Diao Yinan transforme l'essai en donnant une âme à cet incroyable thriller. »
« Thriller efficace avec quelques moments de stylisation bienvenus. »
« J'ai le droit de refaire mon TOP 10 2019 ? »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Tableau des Etoiles

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
LA TORTUE ROUGE (en salles le 29/06/2016)
Michael Dudok de Wit
« C'est joli, mignon et quelques séquences sont superbes. Mais même sur 1h20 de film, on trouve quelques longueurs. »
« C'est gentillet, mais simple et souvent beau. »
La Tortue rouge (en vidéo le 30/11/2016)
Michael Dudok de Wit
« Le cycle de la vie exploré avec minimalisme et poésie dans une oeuvre sensible et formellement somptueuse. »
« C'est joli, mignon et quelques séquences sont superbes. Mais même sur 1h20 de film, on trouve quelques longueurs. »
« C'est gentillet, mais simple et souvent beau. »
La Vérité (en salles le 25/12/2019)
Kore-eda Hirokazu
« Kore-Eda filme la famille française avec autant de justesse qu'il le faisait au Japon. Deneuve y joue le meilleur rôle de sa décennie, facile. »
« Kore-Eda s'approprie complètement son nouveau cadre tout en conservant sa sensibilité et ses thématiques. Une délicieuse réflexion sur la mémoire et sur le jeu, et peut-être la plus belle déclaration d'amour à notre Catherine Deneuve nationale. »
« Kore-eda hors de ses terres japonaises joue avec la fiction et l'imaginaire pour creuser avec le même brio ses thématiques familiales. »
« Grand rôle pour Catherine Deneuve, petit film pour Kore-eda. »
Larmes de Stèle (FICA 2018 - Regard sur le cinéma de Mongolie)
Jigjisuren Gombojav
« Le premier volet de l'indispensable trilogie "Au bord de la mort". »
Le Cercle - Rings (en salles le 01/02/2017)
F. Javier Gutiérrez
« Une mise à jour que l'on peut se risquer à caractériser d'hommage : sans risque, dispensable et plutôt soigné ! Bref, rien de fou, mais rien honteux... »
Le Château solitaire dans le miroir (en salles le 06/09/2023)
Hara Keiichi
« Enfin Keiichi Hara se reprend. »
« Là où Hara pouvait laisser espérer le meilleur dans "Miss Hokusai" et, surtout "Wonderland", le cinéaste ici se glisse dans les clichés du japanime pour ado, en abordant (moins que dans "A Silent Voice") la question pourtant impérieuse du harcèlement scolaire. »
« Keiichi Hara signe une belle fable contre le harcèlement scolaire par le prisme de l'isekai, et renoue avec les thèmes de son beau Colorful. »
« Un sujet en or et quelques instants d’émotions pure comme seul Hara en a le secret, noyés dans une mise en scène sans éclat au service d’un scénario inégal. Mention « peut mieux faire » à la Direction artistique d l’ensemble. »
Le Client (en salles le 09/11/2016)
Asghar Farhadi
« Quelle longue mise en place pour une développement en demi-teinte, qui sent un peu le réchauffé dans le cinéma de Farhadi. »
Le Congrès (en vidéo le 08/08/2014)
Ari Folman
« Une réflexion sur le cinéma et le progrès technique qui perd de sa puissance lors du passage du film en animé. »
Le Conte de la Princesse Kaguya (En Salles le 25/06/2014)
Takahata Isao
« Beau et poétique. Une merveille. »
« Un conte graphiquement et thématiquement envoutant. Le plus beau film d'animation depuis... Le Tombeau des lucioles ? »
Le diable n’existe pas (en salles le 01/12/2021)
Mohammad Rasoulof
« Rasoulof confronte encore et toujours le système de son pays. Une vibrante réflexion du prix de la résistance et de l'obéissance dans un film aussi engagé qu'humaniste. »
« En quatre facettes, Rasoulof atteint, depuis l'épineuse question morale de la peine de mort, aux tréfonds de la condition humaine pour mettre en lumière ses troubles, avec douceur, violence, beauté et crudité. »
« Plusieurs séquences terrassantes, un plaidoyer pour plus d'humanisme et in fine, plus de démocratie. »
Le Festin chinois (en salles le 21/07/2021)
de Tsui Hark
« Tsui Hark s'éclate à présenter les duels de cuisine tels des combats d'arts martiaux, et nous aussi. Cartoonesque ! »
« On va dire qu'il y a à boire et à manger dans ce Tsui Hark qui reste assez mineur. »
Le Gangster, le Flic et l'Assassin (en salles le 14/08/2019)
Lee Won-tae
« Affreux, puant, mal foutu, à éviter de toute urgence. »
« Sur la variation de la confrontation" flic chien fou/ gangster super-violent avec un cœur sur fond de meurtres" que le cinéma coréen affectionne particulièrement, on a vu mieux et le film ne révolutionnera pas le genre mais c'est efficace, plutôt jouissif et porté par la belle énergie de ses comédiens, Ma Dong-seok en tête. »
« La thématique classique du polar sur la porosité entre flic et voyou dopé au dynamisme et au savoir-faire coréen, grâce à des acteurs charismatiques et une intrigue rondement menée. »
« On ne tient pas le chef d'oeuvre de la décennie, ni même de l'année. Mais le divertissement reste total, la mise en scène fluide et dynamique et le duo formé par le gangster et le flic fait mouche. »
« Un énième polar qui n’apporte rien au genre, la faute à un script qui n’exploite jamais à fond son concept d’association/compétition de ripoux et une mise en scène trop sage qui se repose trop souvent sur le charisme de son duo d’acteurs. »
« Une copie propre du polar à la sauce coréenne. Quelques moments un peu trop simples, d'autres bien rythmés. »
« Triste exemple de l'appauvrissement esthétique et thématique du cinéma coréen populaire actuel : aucune idée visuelle, une idéologie rance, un recyclage consensuel des pires clichés des films de gangsters... On ne remercie pas la sélection cannoise qui assure au film une sortie en salles plutôt qu'un passage direct en VOD. »
Le Garçon et la Bête (en salles le 13/01/2016)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
Le Garçon et la Bête (en vidéo le 27/05/2016)
Mamoru Hosoda
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma de HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et la bête (Kinotayo 2015)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma d’HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
Le Garçon et le Héron (en salles le 01/11/2023)
Miyazaki Hayao
« Après avoir dit qu'il faut tenter de vivre, Miyazaki se demande à 83 ans comment faut-il mener sa vie. Sidérant. »
« Tout en s'enfonçant dans les tréfonds de ses origines (à la recherche de la mère disparue et du père créateur), Miyazaki laisse son Art défiler devant nos yeux. Avec un sentiment de vertige dont la puissance poétique, sans conteste, peut être perçue comme un excès nébuleux. »
« Film-somme de sa carrière (même si on l'a déjà dit pour Le Vent se lève), Le Garçon et le Héron embrase tout sur son passage. Poétique à souhait et fourmillant d'idées et de détails, le film se laisse moins facilement appréhender que les autres, ce qui le rend d'autant plus intéressant. »
« Le Miyazaki maitre du merveilleux et rêveur des débuts laisse ici place à un vieil homme sage qui se permet ni plus ni moins qu’une réflexion passionnante sur l’existence et ce que l’on en fait. Moins accessible que ses précédents films mais un pur joyau à revoir pour tout assimiler. »
« Miyazaki se rapproche une fois de plus de l'autofiction et arrive, après l'incroyable Le vent se Lève, un fois de plus à réaliser un coup de maître. Cette fois, résolument tourné vers le futur, les audaces techniques et scénaristiques ne sont au service que d'une question angoissante et existentielle : quel sera son héritage ? »
« Le bouillonnement créatif de Miyazaki déborde de chaque image après sa courte retraite. La suite dira s'il s'agit d'un jalon vers un nouvel horizon ou un film somme testamentaire. »
Le Grand Magasin (en salles le 06/12/2023)
Ohshima Satomi
« Film d'animation pour enfants tout mignon tout trognon qui cache en son sein un lore AHURISSANT autour des animaux et des grands magasins. J'ai encore du mal à croire que c'est réel. »
« Un conte de Noël virevoltant et euphorique qui, derrière des atours colorés et un ton léger, cache un fond écologique engagé. »
« Récit naïf qui frise régulièrement le niais. »
Le jour d'après (Cannes 2017)
Hong Sang-soo
« Voilà qui semble être du très grand Hong Sang-soo ! »
Le Jour d'après (en salles le 07/06/2017)
Hong Sang-soo
« Pour une fois, Hong Sang-soo travaille sa mise en scène et sa photographie. A part ça, ben... c'est toujours la même ritournelle... »
« L'un des plus beaux films de Hong Sang-soo. »
Le Lac aux oies sauvages (en salles le 25/12/2019)
Diao Yinan
« C'est beau, c'est sombre. Plus c'est impressionniste, plus ça fonctionne. Dernier plan magnifique. »
« Nouveau coup de maître pour Diao Yinan avec cette cavale vertigineuse et électrisante. Du putain de cinéma ! »
« Un polar virtuose, coloré et sensoriel. »
« Après un Black Coal sublime mais étrangement trop froid, Diao Yinan transforme l'essai en donnant une âme à cet incroyable thriller. »
« Thriller efficace avec quelques moments de stylisation bienvenus. »
« J'ai le droit de refaire mon TOP 10 2019 ? »
  • : pas de note
  • : mauvais
  • : moyen
  • : bon
  • : très bon
  • : excellent
  • : chef-d'Oeuvre

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